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On en parle à la télé !
Un reportage de 2M sur « Le jardin des cactus » et ses tortues géantes, la nouvelle extension de CrocoParc Agadir
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On en parle à la télé !
Un reportage de 2M sur « Le jardin des cactus » et ses tortues géantes, la nouvelle extension de CrocoParc Agadir
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par Fatiha Nakhli – leconomiste.com – 22/01/2018
Au cours du salon, des visites de terrain permettront aux délégations étrangères de découvrir les sites de production et les stations de conditionnement de la région Souss Massa (Ph. L’Economiste)
Les Trophées de la filière des fruits rouges et légumes au Maroc (Trofel) reviennent pour une 9e édition très attendue. L’événement, prévu du 25 au 27 janvier prochain, connaîtra la participation de 14 pays. Avec des opérateurs de Russie, Grande-Bretagne, Portugal, l’Italie, Pays-Bas, Inde, Emirats Arabes Unis, Qatar, Jordanie, Côte d’Ivoire, Sénégal, Mauritanie, Gabon et Burkina Faso.
En effet, depuis deux années consécutives et conformément aux orientations stratégiques nationales, Trofel a pris une dimension internationale en favorisant les échanges Sud-Sud et Nord-Sud, à travers des missions B2B. Trofel 2018, qui retient pour thème «Les Canaux de distribution des exportations des fruits et légumes en Afrique de l’Ouest», se distingue cette année par une planification riche en rencontres bilatérales, en tables rondes visant à informer les participants sur l’état de la filière et les potentialités des pays participants.
De même que sur la diversité de l’offre et la commercialisation des fruits et légumes sur le marché africain, européen et asiatique. Des visites de terrain permettront aux délégations étrangères de découvrir les sites de production et les stations de conditionnement de la région Souss Massa. «Notre objectif, à travers cette manifestation, est de valoriser l’agriculture moderne et ses interactions avec la culture vivrière comme moyen pour atteindre la croissance et la modernisation», explique Abdallah Jrid, Président du Comité d’organisation.
Le but est aussi d’encourager l’organisation professionnelle au Maroc, de motiver les opérateurs du secteur associatif et de refléter une image positive de l’agriculture marocaine à l’échelle internationale. Trofel 2018 sera clôturé par une cérémonie de remise des prix aux opérateurs les plus méritants. Les catégories concernées sont les fruits rouges, les légumes, les agrumes, l’oléiculture et les institutions.
Trofel 2018 est organisé sous l’égide du ministère de l’Agriculture avec le parrainage de l’Etablissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (EACCE). En partenariat avec les associations professionnelles représentant la filière des fruits et légumes au Maroc et une cinquantaine d’entreprises du secteur public et privé.
par Abdallah Halimi – libe.ma – 24/01/2018
lematin.ma – 21/01/2018
La ville d’Agadir accueille ce samedi les premières Assises régionales de l’assistance médicale à la procréation, avec la participation d’experts marocains et internationaux.
Les débats portent sur les différents aspects de la prise en charge de l’infertilité, en particulier dans la région sud, a-t-on indiqué à l’occasion de cette rencontre initiée par l’association des gynécologues du sud sous l’égide de la Société marocaine de médecine de la reproduction. Cette première diction est placée sous le thème «L’assistance médicale à la procréation dans la région sud du Maroc, états des lieux et perspectives d’avenir».
Pour les organisateurs, cet événement a pour ambition de «sensibiliser les pouvoirs publics, la société civile et l’ensemble du corps médical à la problématique de l’infertilité dans la région sud et les énormes progrès qu’a connus cette spécialité durant les quelques dernières années». «La région sud connait malheureusement une forte baisse de la fertilité surtout d’origine masculine, et la demande d’assistance médicale à la procréation est en croissance exponentielle», ont-ils noté dans un communiqué.
Au-delà de l’aspect scientifique, les assises d’Agadir entendent mettre l’accent aussi sur les différentes facettes de l’assistance médicale à la procréation comme l’aspect religieux, social et juridique.
par Mohamed Laabid – aujourdhui.ma – 22/01/2018
La région est réputée géologiquement pour son activité sismique actuelle et ancienne
Le territoire est exposé à de multiples aléas naturels : l’aléa sismique, mouvement des terrains et instabilité des massifs géologiques, tsunami, inondations et crues torrentielles, ainsi que la submersion marine et l’érosion côtière.
Le Conseil Régional de Souss-Massa planche sur une étude relative à l’élaboration du plan sécurité séisme du Grand Agadir. Cette étude a pour finalité de capitaliser toute connaissance sur les risques naturels menaçant le Grand Agadir, d’encadrer et canaliser le développement d’une urbanisation exempte de risques, de limiter les dégâts humains et économiques engendrés par les phénomènes naturels dans une perspective d’un développement durable. Cette étude constitue un référentiel et une réelle assise à toute réglementation de l’occupation du sol de ce territoire.
L’étude concerne l’aire couverte par le Schéma directeur de l’agglomération du Grand Agadir (SDAU) couvrant une superficie d’environ 2.200 km². Ainsi, l’aire de l’étude devrait couvrir toutes les communes relevant de l’agglomération du Grand Agadir (Agadir, Drarga, Amskroud, Taghazout, Aourir, Dcheira, Inezgane, Ait Melloul, Lqliaa, Temsia, Ouled Dahou, Sidi Bibi, Ait Amira, Oued Essafa et Biougra) et être menée à échelle appropriée sur les zones urbanisées.
L’étude va contenir une carte et une notice explicative de synthèse ainsi qu’un règlement explicitant les modalités d’utilisation de cette carte, répartissant la zone d’étude en quatre zones principales : zones sans risques, zones à risques, zones nécessitant des dispositions particulières à prendre par les concepteurs et maîtres d’ouvrage, et zones non aedificandi, présentant des risques non rectifiables, ainsi qu’un plan d’intervention et un schéma de gouvernance, et un plan d’action relatif à la sensibilisation et la formation.
De par sa position sur la terminaison sud-occidentale du Haut Atlas marocain, la région d’Agadir est réputée géologiquement pour son activité sismique actuelle et ancienne. Il est démontré que cette activité est en grande partie liée au comportement des failles à toutes les échelles, qui sont encore sollicitées de contraintes tectoniques à l’origine de leur mouvement. Cette dynamique justifie le risque sismique mais se trouve parallèlement à l’origine d’autres risques naturels en particulier les glissements de terrain et le tsunami. Le territoire est exposé à de multiples aléas naturels : l’aléa sismique, mouvement des terrains et instabilité des massifs géologiques, tsunami, inondations et crues torrentielles, ainsi que la submersion marine et l’érosion côtière.
Le projet relatif à l’élaboration d’un plan de sécurité séisme du Grand Agadir a été retenu dans la cadre du 2ème appel à projets lancé au titre des années 2016-2017, en vertu de la circulaire du ministre de l’intérieur n°7806 du 30 novembre 2016 et financé par le «Fonds de lutte contre les effets des catastrophes naturelles» (FLCN), et qui a été créé en vertu de la loi de Finances au titre de l’année budgétaire 2009, dont l’ordonnateur est le ministre de l’intérieur, dédié à la prévention et la réparation des effets induits par les catastrophes naturelles.