Nouveau blog d’Agadir

Je suis arrivé au maximum de place qui m’est alloué par le serveur wordpress pour stocker les photos du blog.

Pour éviter de payer, Je suis obligé d’ouvrir un nouveau blog et vous, vous serez obligés, si vous le souhaitez, de vous inscrire à ce nouveau blog.

Son adresse est :

https://agadirblogmichelterrier.wordpress.com

Vous pouvez y accéder dès maintenant en cliquant sur le lien indiqué ci-dessus.
Soyez indulgents, il faudra peut-être quelques jours pour qu’il soit pleinement opérationnel !

Nouvel an berbère à Agadir

Je me suis amusé en créant deux images avec l’Intelligence Artificielle.

Les seules instructions que j’ai données au programme pour créer les images sont :

« Bonne année berbère à Agadir« 

Voici les résultats :

C’est Yennayer, le nouvel an berbère. Bonne année 2974 !

encommun.montpellier.fr – 12/01/2024

Le nouvel an berbère plus connu sous le nom de Yennayer, est le premier jour de l’année selon le calendrier amazigh (berbère), dont le point zéro a été défini sur 950 av. J.-C. Cette année, les Berbères d’Afrique du Nord et des diasporas du monde entier fêteront donc l’an 2974, entre le vendredi 12 et le dimanche 14 janvier. 

Le premier jour de l’année

Pas d’inquiétude nous sommes bien en 2024. Mais certaines civilisations, certains peuples célèbrent l’arrivée de la Nouvelle Année à d’autres moments. C’est ainsi par exemple que le samedi 10 février 2024 nous entrons dans l’année du Dragon de Bois, la 4721e année chinoise.
Un peu plus proche de nous, les Berbères fêteront quant à eux, Yennayer, leur nouvel an ce weekend. Yennayer marque le Premier jour de l’année selon le calendrier agraire amazigh, remontant à l’Antiquité. 

Célébré entre le 12 et les 14 janvier de chaque année, le nouvel an berbère correspond au calendrier julien, décalé de treize jours par rapport au calendrier grégorien. Son origine remonte à 950 av. JC, coïncidant avec l’intronisation du roi berbère Shehonq en tant que pharaon d’Egypte, marquant ainsi le début de la XXe dynastie égyptienne. 

Symbole de partage, d’hospitalité, de protection de la nature 

Yennayer est une tradition importante pour les communautés Berbères. Une nouvelle année accueillie dans un esprit de joie, de bonne humeur, dans différentes régions de l’Afrique du Nord : en Algérie, au Maroc, en Tunisie, dans certaines régions du Mali et de Libye, également sur les îles Canaries et en France, par les Berbères qui restent toujours attachés à leur culture et à cette tradition millénaire. Les Amazighs (ou Imazighen) louent le labeur des agriculteurs et honorent la terre. Yennayer continue ainsi à être un symbole de partage, d’hospitalité, de protection de l’environnement et de la nature. Il est une occasion particulière pour les familles de se rassembler autour d’un bon repas et aussi l’opportunité de revisiter et transmettre les histoires des ancêtres, de perpétuer des traditions ancestrales. 

Yennayer marque le début de l’année agricole et est souvent associé à la dégustation de plats spéciaux et à des rituels symboliques liés à la prospérité, à la fertilité et à diverses formes de célébrations culturelles. 

Rites, traditions, étymologie

La veille du 12 janvier (ou du 14 janvier selon les régions), les Berbères s’apprêtent à accueillir Yennayer. On privilégie le port des tenues traditionnelles et de bijoux anciens. Pour les enfants, c’est aussi leur premier passage chez le coiffeur. Si la veille, les repas sont plus frugaux, le jour de Yennayer, un repas plus riche est partagé (imensi n yennayer), symbolisant la prospérité et l’abondance. Le dîner familial est le temps fort. On concocte des plats à base de semoule, de grains et de légumes. Ces mets, patrimoine culinaire berbère, sortent de l’ordinaire. Au menu, coucous assortis d’une volaille, du pain à base d’herbes. En revanche, durant cette journée, on ne mange point d’aliments acides, épicés et encore moins amers. Une superstition pour que cette année soit bénéfique. Des rituels de purifications sont également effectuées, comme le minutieux nettoyage de la maison, pour chasser les mauvais esprits et accueillir la nouvelle année sous de bons auspices.

Qui sont les berbères ?

Les Imazighen ou Amazighs, plus connus sous le nom de Berbères (en tamazight : Imaziɣen, ⵎⵣⵗⵏ en tifinagh, écriture berbère ancienne) sont un groupe ethnique autochtone d’Afrique du Nord. Connus dans l’Antiquité sous le nom de Libyens, les Amazighs ont porté différents noms durant l’histoire, tels que Mazices, Maures, Numides, Gétules, Garamantes… Ils sont répartis dans une zone s’étendant de l’océan Atlantique à l’oasis de Siwa en Égypte, et de la mer Méditerranée au fleuve Niger en Afrique de l’Ouest. Historiquement, ils parlaient des langues Amazighs, classées dans la branche des langues chamito-sémitiques. La majeure partie des Amazighs vit en Afrique du Nord : au Maroc (Chleuhs), en Algérie (Kabyles, Chaouis), en Tunisie, en Libye, au Niger, en Égypte, au Mali, en Mauritanie, au Burkina Faso, mais aussi aux îles Canaries.
De grandes diasporas vivent en France, en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne, en Italie, au Canada et dans d’autres pays d’Europe.

Un peu d’histoire : Origine de Yennayer, le Nouvel An berbère

Étymologiquement, le mot Yennayer est composé de yen, qui signifie « premier », et d’ayer (ou ayyur), qui veut dire « mois ». Il correspond au premier jour du calendrier agraire utilisé par les Berbères depuis plusieurs siècles, correspondant au calendrier julien adopté en Afrique du Nord dans la Rome antique et décalé de 13 jours par rapport au calendrier grégorien. Le jour zéro de ce calendrier est choisi pour correspondre avec la victoire de Sheshonq Ier (Cacnaq) sur le pharaon Ramsès III et son intronisation en 950 av. JC, en tant que pharaon d’Égypte. Sheshonq Ier (Cacnaq) est fondateur de la XXIIdynastie qui a régné en Égypte jusqu’en 715 avant JC. La prise de Jérusalem et du trésor de Salomon par Chechonq 1er est inscrite dans la Bible. Le nom Sheshonq figure aussi sur un fragment de pierre, ou stèle, découvert sur le site de la ville de Megiddo, dont parle la Bible. Les historiens affirment que Cacnaq Ier était le fils de Nimlot A et de Tentshepeh A, tous deux issus du peuple libyque Machouach, qui se livrait à des batailles contre les pharaons de l’Égypte. Leur influence grandissante au sein de l’armée égyptienne et des enceintes de pouvoir a mené à l’instauration d’une dynastie aux origines berbères, qui unira une Égypte à l’époque divisée entre Thèbes au Sud et Tanis au Nord.

Chine : la plus grosse révolution annoncée pour les smartphones, une première !

par Francis Noudé – lanouvelletribune.info – 13/01/2024

La faible autonomie des batteries est l’un des plus grands défis auxquels sont confrontés les utilisateurs de smartphones aujourd’hui. Avec l’augmentation constante des fonctionnalités et applications exigeantes en termes d’énergie, tels que le streaming vidéo, les jeux en haute résolution et l’utilisation intensive des médias sociaux, les utilisateurs se retrouvent souvent à devoir recharger leurs appareils plusieurs fois par jour.

Cette contrainte impose des limites à la mobilité et à l’efficacité, obligeant les utilisateurs à rester à proximité des prises de courant ou à transporter des chargeurs portables. Malgré les avancées technologiques, la lutte pour maintenir les smartphones actifs tout au long de la journée reste une préoccupation majeure pour de nombreux consommateurs.

Une société chinoise fait une annonce importante

Dans le monde en perpétuelle évolution de la technologie, une percée majeure vient de secouer l’industrie des smartphones : l’autonomie de la batterie. Une entreprise chinoise, Betavolt Technology, basée à Pékin, a annoncé le développement d’une batterie nucléaire miniature, une première mondiale. Cette batterie révolutionnaire, nommée BV100, promet une autonomie inimaginable pour les utilisateurs actuels de smartphones, sans nécessiter de recharge: 50 ans d’utilisation non stop ! Oui vous avez bien lu !

La technologie derrière cette batterie est aussi fascinante qu’innovante. La BV100, mesurant seulement 15 x 15 x 5 mm, est conçue pour générer 100 microwatts d’électricité en se basant sur la désintégration de l’isotope de nickel 63. Ce développement s’inspire des composants de longue durée utilisés par exemple dans les stimulateurs cardiaques, marquant ainsi une étape importante dans la miniaturisation de la puissance nucléaire.

Ce qui distingue particulièrement cette batterie des autres sources d’énergie nucléaire, c’est son approche sécuritaire. Betavolt a opté pour un semi-conducteur en diamant combiné à un isotope de nickel en décomposition, garantissant l’absence de rayonnements ou de produits chimiques toxiques. De plus, la batterie est conçue pour être extrêmement sûre, sans risque d’inflammation ou d’explosion, même dans des conditions extrêmes allant de -60°C à 120°C.

Des bulldozers à Chtouka détruisent le palais d’un entrepreneur connu à Agadir, malgré la condamnation des associations.

agadir24.info – 12/01/2024

Depuis la fin de la semaine dernière, les autorités compétentes de la province de Chtouka Ait Baha ont entamé des opérations de démolition à grande échelle le long de la bande côtière de la région de Douira, rattachée administrativement à la communauté d’Enchaden, après avoir démoli des centaines de bâtiments sur la bande côtière de la communauté de Sidi Bibi pour des raisons liées aux violations de construction et à l’occupation du domaine public maritime.

Des sources d’Agadir 24 ont rapporté que des bulldozers se sont déplacés pour démolir des centaines de bâtiments sur la plage de Douira et ont démoli un bâtiment construit en forme de palais surplombant la plage pour un entrepreneur décédé bien connu à Agadir, où les travaux de démolition ont commencé il y a trois jours.

Dans la communication d’Agadir 24 avec une source bien informée, cette dernière a révélé : « Les opérations de démolition que connaît actuellement la communauté côtière dans la région de Chtouka Ait Baha, et les rumeurs qui les accompagnent sur les raisons de cette opération, disent que leur motif principal est l’application de la loi, ni moins ni plus », et le même porte-parole a confirmé que le processus de démolition inclura tous les bâtiments construits illégalement sur le domaine public maritime, ou ceux construits en violation flagrante des exigences légales encadrant ce domaine », soulignant que le les violations commises restent continues et ne sont pas soumises à un délai de prescription.

A cet égard, des associations ont dénoncé la décision des autorités de démolir ce palais, soulignant qu’elles auraient dû le transformer en un monument historique pouvant être exploité pour promouvoir le tourisme dans la région, plutôt que de recourir à la politique de démolition.

Il est à noter que les communautés côtières de la province de Chtouka Ait Baha ont été témoins d’opérations de démolition généralisées depuis la dernière semaine du mois dernier, notamment des bâtiments, des immeubles résidentiels, des villas et des projets touristiques, appartenant à d’éminents investisseurs et élus.

Yennayer 2974 : des célébrations fastueuses attendues dans le Souss

Par Mohamed Younsi – le360.ma – 13/01/2024

Le nouvel An amazigh, célébré officiellement le 14 janvier, sera marqué dans son édition 2974 par de multiples festivités. Agadir a dédié toute une semaine à cet évènement, qui renforce l’identité plurielle du Maroc, rapporte le quotidien Al Ahdath, dont est tirée cette revue de presse.

Tout comme le premier Moharram de l’Hégire et le jour de l’An grégorien, Yennayer, jour de l’An amazigh, est désormais «jour férié national officiel payé». A cette occasion, le Maroc pluriel célèbre cette année l’édition 2974 du calendrier agraire amazigh, par des activités artistiques, culturelles et scientifiques.

A Agadir, «la commune urbaine de la ville a mis en place, en collaboration avec le conseil de la région Souss-Massa, le conseil régional du tourisme, l’Agence nationale pour le développement des zones oasiennes et de l’arganier et l’Association Timitar, tout un programme qui s’étale sur la semaine du 8 au 14 janvier», rapporte le quotidien Al Ahdath dans son édition du week-end des 13 et 14 janvier.

Pour la première fois, à cette occasion, fait remarquer le quotidien, les festivités quitteront les espaces clos des établissements pour aller à la rencontre du grand public.

Dans ce cadre, le parc Ibn Zaydoun a été aménagé en cinq espaces pour accueillir «Tasooqt en janvier» : l’espace «Andaro», un atelier pédagogique dédié aux enfants, l’espace «Almokar», réservé à l’exposition des produits des coopératives locales, l’espace «Aslay», dédié aux photographies et aux objets d’art amazighs, l’espace «Asayes», consacré au spectacle et au conte, et l’espace d’hospitalité «Tamasrit».

Les organisateurs ont également prévu des conférences thématiques et des séminaires autour de la culture amazighe au cinéma du Sahara dans le quartier Talborjt, indiquent les sources du quotidien.

Dans ce sillage, il sera procédé à la présentation et à la signature du livre «Janvier. Une introduction à l’étude du calendrier amazigh» du chercheur Al-Hussein Bouyaqoubi. Cette signature sera suivie d’un colloque international avec la participation des professeurs universitaires, d’experts et de chercheurs du Maroc, d’Algérie, de Tunisie, de Libye et des îles Canaries, qui débattront du thème «Janvier et la profondeur culturelle commune de l’Afrique du Nord».

De même, le complexe culturel Khair Eddine accueillera le Forum Azaforum, intitulé «Officialisation de l’année amazighe au Maroc, significations et défis».

Agadir : un riche programme pour la célébration du nouvel an amazigh 2974

lematin.ma – 13/01/2024

Un programme riche et varié en animations et activités a été concocté par la commune d’Agadir pour la célébration du nouvel an amazigh (Id Yennayer 2974).

« La célébration d’Id Yennayer revêt revêt une grande importance suite à la décision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI d’instaurer ce jour férié national officiel payé », indique un communiqué de la Commune d’Agadir.

Les festivités liées à cet événement sont organisées, 08 au 14 janvier, en partenariat avec le conseil de la région de Souss-Massa, le Conseil régional du tourisme d’Agadir Souss-Massa, l’Agence nationale du développement des zones oasiennes et d’arganiers (ANDZOA) et l’Association du festival Timitar, précise la même source.

Au programme, figurent d’intenses activités au Jardin Ibn Zaydoun qui accueille “Tasooqt Id Yennayer”, réparti sur cinq espaces: l’espace “Andaro”, dédié aux enfants, “Almokar” pour présenter les produits des coopératives locales, “Asalay”, qui abritera une exposition de photographies et d’oeuvres d’art amazighs, “Asayes” réservé à l’animation artistique, et l’espace d’hospitalité “Tamsrit”.

S’agissant du volet scientifique, le cinéma du Sahara, situé au quartier Talborjt, accueille des séminaires qui aborderont la profondeur de la culture amazighe. Il s’agit également de la présentation et la signature du livre “Yennayer : Une introduction à l’étude du calendrier amazigh” de son auteur Lahoucine Bouyaakoubi, outre un colloque international portant sur le thème “Yennayer et la profondeur culturelle commune de l’Afrique du Nord”, avec la participation d’un parterre de professeurs universitaires, d’experts et de chercheurs en culture et identité amazighe du Maroc, de l’Algérie, de la Tunisie, de la Libye et des îles Canaries.

Le Complexe culturel Mohamed Khair-Eddine accueillera également le Forum Azaforum, sous le thème “Officialisation de l’année amazighe au Maroc: significations et défis”.

Au menu également des spectacles des arts d’Ahwach et Rawais et des prestations de groupes de la musique amazighe ancienne et moderne. Ainsi, des soirées artistiques riche en sonorité auront lieu à Kasbah d’Agadir Oufella, la Place de l’Espoir, et les places Tikine et Bensergao, avec la participation des icônes de la chanson amazighe (Izanzarne, Fatima Tabimrant, Fatima Tihihit, Hamid.Enerzaf, Laryach, Rebab Faison et Mehdi Qamom).

En partenariat avec des associations de la société civile, des soirées artistiques et diverses activités culturelles seront tenues dans plusieurs quartiers de la ville. Par ailleurs, « Le cinéma Sahara » de Talborjt accueillera des projections de films amazighs en partenariat avec l’Association internationale du festival du film amazigh Isni Nourg.

Akhannouch : Le Nouvel an amazigh, une occasion de célébrer un patrimoine culturel porté par tous les Marocains

La célébration du Nouvel an amazigh, conformément à la décision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI d’instaurer ce jour férié national officiel payé, est une occasion de mettre en avant un patrimoine culturel porté par tous les Marocains, a affirmé, vendredi à Agadir, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch.

« Nous célébrons aujourd’hui, depuis Agadir, le Nouvel an amazigh qui symbolise un patrimoine de grande importance non seulement pour les Amazighs, mais pour tous les Marocains », a souligné M. Akhannouch dans une déclaration à la presse à l’occasion du Nouvel An amazigh 2974.

Le Chef du gouvernement a indiqué que la célébration cette année du Nouvel an amazigh revêt « un caractère particulier », suite la décision Royale d’instaurer le Nouvel an Amazigh jour férié officiel, dans le cadre de la consécration constitutionnelle de l’Amazighe.

Akhannouch : « Le programme de développement urbain d’Agadir, un chantier Royal ayant changé considérablement les paysages de la ville »

menara.ma – 12/01/2024

Le programme de développement urbain de la ville d’Agadir 2020-2024 est un chantier Royal qui a changé considérablement les paysages de la ville, ce qui s’est reflété positivement sur la vie quotidienne des citoyens, a affirmé, le Président du Conseil communal d’Agadir, Aziz Akhannouch.

S’exprimant lors de la 11ème réunion du comité de supervision et de suivi dédiée à la présentation du bilan dudit programme, M. Akhannouch a fait savoir que ce programme a contribué à la promotion de l’attractivité touristique et économique de la ville, notant que la coordination et la convergence entre l’ensemble des acteurs, tous rôles confondus, constitue une condition sine qua non pour la mise en œuvre des différents projets programmés.

Il a également précisé que ce programme, auquel le Roi Mohammed VI accorde une attention particulière, a atteint une étape cruciale exigeant une détermination renouvelée et une adhésion continue, en vue d’accomplir toutes les composantes de ce chantier, appelant au respect strict des délais et des cahiers de charges. Rappelant que la ville d’Agadir s’apprête à abriter de grands évènements internationaux, telle la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) et la Coupe du Monde, avec les défis et challenges qui les accompagnent, M. Akhannouch a souligné la nécessité d’accélérer le réaménagement des alentours du grand stade d’Agadir ainsi que toutes les routes qui y mènent. A cet égard, il a mis en avant plusieurs mesures, dont l’accélération des travaux de réaménagement de la route urbaine et sa liaison à l’aéroport dans les plus brefs délais en tant que première étape, puis l’achèvement de toutes ses tranches avant la CAN de 2025, en plus d’élaborer l’ensemble des installations sportives programmées dans le cadre du réaménagement de l’entourage du grand stade d’Agadir, notamment la piscine olympique et la salle couverte.

M. Akhannouch a, en outre, relevé que le conseil communal d’Agadir œuvrera sans relâche pour honorer tous les engagements, en allouant les budgets nécessaires au titre de l’année 2023, dont une bonne partie a été versée à des sociétés, ajoutant qu »‘il y avait une difficulté dans le versement de l’autre partie, nous sommes en cours de traitement de cette problématique en coordination avec les services spécialisés ». De même, il a mis en avant l’importance accordée par le programme de développement urbain d’Agadir à la valorisation du patrimoine culturel amazighe de la ville, à travers une programmation et une série de projets incarnant l’identité amazighe de la région, notamment l’ouverture du musée amazigh, le musée « Timitar » et la mise à niveau de la Kasbah d’Agadir Oufela.

Pour sa part, le Wali de la région Souss-Massa, Saaid Amzazi, a affirmé que cette réunion, qui met en lumière le bilan de 46 mois passés après le lancement du programme de développement urbain d’Agadir 2020-2024, marque la changement opéré dans l’opérationnalisation des composantes du programme, en passant de l’étape du lancement des projets à l’étape de leur livraison. M. Amzazi a également fait savoir que ce passage a été réalisé grâce à la mobilisation et l’adhésion totale des différents acteurs et partenaires financiers et institutionnels de ce projet Royal structurant. Les composantes du programme de développement urbain d’Agadir 2020-2024, en cours de mise en œuvre conformément aux dispositions de l’article 7 de la convention cadre relative au financement et à l’opérationnalisation de ce programme signée devant Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le 04 février 2020, comprennent 94 projets, d’un coût total de 7.371.420 dirhams.

Par ailleurs, selon un communiqué de la préfecture d’Agadir Ida-Outanane, le bilan de l’exécution de ce programme englobe l’achèvement des travaux de 33 projets, de 709 millions de dirhams, la création et le réaménagement de plusieurs équipements et infrastructures, en plus de 40 projets secondaires d’un coût de près de 2.174.000 dirhams, ainsi que la construction, le réaménagement et l’entretien de plusieurs installations urbaines. Le budget total des engagements approuvés par les maîtres d’ouvrages par intérim pour le programme s’élève à près de 6.083 milliards de dirhams, soit 82,5% du coût total dudit programme, précise la même source.

Agadir : 33 projets achevés et accélération des chantiers pour la CAN 2025 et le Mondial 2030

lavieeco.com – 12/01/2024

Le Président du Conseil communal d’Agadir, Aziz Akhannouch met en avant le programme de développement urbain de la ville d’Agadir 2020-2024 et appelle les acteurs à accélérer la mise à niveau des infrastructures à l’approche des évènements sportifs internationaux.

S’exprimant lors de la 11e réunion du comité de supervision et de suivi dédiée à la présentation du bilan dudit programme, Akhannouch a indiqué que ce programme a contribué à la promotion de l’attractivité touristique et économique de la ville, notant que la coordination et la convergence entre l’ensemble des acteurs, tous rôles confondus, constitue une condition sine qua non pour la mise en œuvre des différents projets programmés.

Il a également précisé que ce programme, auquel SM le Roi Mohammed VI accorde une attention particulière, a atteint une étape cruciale exigeant une détermination renouvelée et une adhésion continue, en vue d’accomplir toutes les composantes de ce chantier, appelant au respect strict des délais et des cahiers de charges.

Rappelant que la ville d’Agadir s’apprête à abriter de grands évènements internationaux, telle la Coupe d’Afrique des Nations et la Coupe du Monde, avec les défis et challenges qui les accompagnent, Akhannouch a souligné la nécessité d’accélérer le réaménagement des alentours du grand stade d’Agadir ainsi que toutes les routes qui y mènent. A cet égard, il a mis en avant plusieurs mesures, dont l’accélération des travaux de réaménagement de la route urbaine et sa liaison à l’aéroport dans les plus brefs délais en tant que première étape, puis l’achèvement de toutes ses tranches avant la CAN de 2025, en plus d’élaborer l’ensemble des installations sportives programmées dans le cadre du réaménagement de l’entourage du grand stade d’Agadir, notamment la piscine olympique et la salle couverte.

Akhannouch a, en outre, relevé que le conseil communal d’Agadir œuvrera sans relâche pour honorer tous les engagements, en allouant les budgets nécessaires au titre de l’année 2023, dont une bonne partie a été versée à des sociétés, ajoutant qu’il y avait une difficulté dans le versement de l’autre partie et que «nous sommes en cours de traitement de cette problématique en coordination avec les services spécialisés». De même, il a mis en avant l’importance accordée par le programme de développement urbain d’Agadir à la valorisation du patrimoine culturel amazighe de la ville, à travers une programmation et une série de projets incarnant l’identité amazighe de la région, notamment l’ouverture du musée amazigh, le musée «Timitar» et la mise à niveau de la Kasbah d’Agadir Oufela.

Pour sa part, le Wali de la région Souss-Massa, Saaid Amzazi, a affirmé que cette réunion, qui met en lumière le bilan de 46 mois passés après le lancement du programme de développement urbain d’Agadir 2020-2024, marque le changement opéré dans l’opérationnalisation des composantes du programme, en passant de l’étape du lancement des projets à l’étape de leur livraison. Les composantes du programme de développement urbain d’Agadir 2020-2024, en cours de mise en œuvre conformément aux dispositions de l’article 7 de la convention cadre relative au financement et à l’opérationnalisation de ce programme signée devant Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le 04 février 2020, comprennent 94 projets, d’un coût total de 7,4 millions de Dirhams.

Par ailleurs, selon un communiqué de la préfecture d’Agadir Ida-Outanane, le bilan de l’exécution de ce programme englobe l’achèvement des travaux de 33 projets de 709 MDH , la création et le réaménagement de plusieurs équipements et infrastructures, en plus de 40 projets secondaires d’un coût de près de 2,2 MDH, ainsi que la construction, le réaménagement et l’entretien de plusieurs installations urbaines. Le budget total des engagements approuvés par les maîtres d’ouvrages par intérim pour le programme s’élève à près de 6 milliards de dirhams, soit 82,5% du coût total du programme, précise la même source.

Rappel : Dégustation bio organisée par Souad et Ali à la Ferme « Aux Délices de mon Jardin »

Pour ne pas poublier ! Réservez vite pour être sûrs !

Pour y aller : voici le trajet :

  • En partant du rond-point Agadir Bay sur la N10 (le rond-point avant celui de Marjane en venant du Centre d’Agadir). Mettez le compteur journalier de la voiture à 0.
  • Prendre le barreau Est-Ouest et passer au-dessus de la voie de contournement d’Agadir au niveau de la trémie d’Universiapolis. (km 5 après le départ)
  • Continuer tout droit et aller vers l’autoroute. Au point kilométrique 7,800, prenez à gauche au rond-point, puis à droite au point kilométrique 9,100.
  • Tout droit jusqu’à la N8 que vous prenez à gauche au point kilométrique 12,000
  • 600m après le rond-point situé après Halieutis, prenez l’autoroute A3 que vous quitterez au point kilométrique 28,500, (3km après la station TOTAL).
  • En quittant l’autoroute, prendre à droite vers Taroudant, mais au point kilométrique 32.200, prendre à droite vers Sidi Bousehab que vous traversez au point kilométrique 34,200.
  • Tout droit jusqu’au point kilométrique 35,800. Là, prenez à gauche jusqu’au point kilométrique 38,000. A droite, vous êtes arrivés !

    Pour ceux qui préfèrent programmer leur GPS, la Ferme des Délices se trouve aux coordonnées suivantes : 30.4594818, -9.2715085 (en degrés décimaux)

    Voici le trajet sur la carte :

Stéphane Séjourné, une mauvaise surprise marocaine ?

par Mustapha Tossa – laquotidienne.ma – 11/01/2024

C’est sans doute avec une forme de déception très diplomatique que Rabat a appris ce jeudi soir la nomination de Stéphane Séjourné au poste de ministre des Affaires étrangères à la place de Catherine Colonna, dont la relation avec le président Emmanuel Macron s’est singulièrement dégradée ces derniers temps.

Le nom de Stéphane Séjourné n’est pas inconnu des Marocains et de la diplomatie marocaine. Il avait incarné pendant de long mois l’homme qui menait une campagne très engagée contre le Maroc au sein du Parlement européen. C’est à lui et à son activisme subitement débordant  qu’on doit l’élaboration et le vote de deux résolutions, certes non contraignantes, mais très critiques à l’égard du Maroc. Ce fut entre le 19 janvier et le 16 février 2023. Il est, avec son groupe Renew, à l’origine d’une campagne de dénigrement du Maroc qui avait étonné par sa violence et la determination de ses instigateurs.

Portée par Stéphane Séjourné, dont les relations avec Emmanuel Macron sont notoirement connues, cette campagne contre le Maroc donnait l’impression d’être  téléguidée par le palais de l’Elysée pour régler des comptes avec Rabat. Le nouveau ministre des Affaires étrangères français avait beau expliquer qu’il agissait sans arrières pensées ni agendas politiques, personne au Maroc ne l’avait cru. Cette campagne au sein du Parlement européen ne pouvait se faire sans le feu vert, voire l’encouragement d’Emmanuel Macron. 

 Le choix de Stéphane Séjourné peut provoquer des craintes de la part du Maroc de voir le rétablissement des relations normales entre Paris et Rabat prendre plus de temps que prévu. Mais ce passé militant anti-marocain de Stéphane Séjourné pourrait aussi être une raison d’opérer une grande clarification avec le Maroc. On imagine mal le ministre marocain Nasser Bourita recevoir ou même entretenir un lien normal avec Stéphane Séjourné sans que ce dernier ne procède, d’une manière ou d’une autre,  à une autocritique pour faire oublier, et pourquoi pas s’excuser de cette violente campagne médiatique et politique qui avait ciblé le Maroc de manière totalement injustifiée.

Signe d’un certain espoir de voir la relation entre la France et le Maroc prendre une bonne direction, des informations qui circulaient dans la presse bien avant sa  nomination au quai d’Orsay faisaient états de la volonté de Stéphane Séjourné de se rapprocher du Maroc et de se rabibocher avec ses autorités.

Stéphane Séjourné est un inconnu du grand public francais. Sa carrière a été lancée lorsqu’il avait été désigné en 2017 conseiller politique du président Emmanuel Macron, poste qu’il quitte en décembre 2018 pour occuper celui de directeur de campagne de la liste la République En Marche (LREM), rebaptisé aujourd’hui Renaissance, aux élections européennes de 2019, avant de se faire élire au Parlement européen en juillet 2019 et prendre la tête du groupe politique Renew Europe. Dans tous les portraits que la presse dresse aujourd’hui du nouveau Premier ministre, un fait majeur est souligné : le rôle déterminant joué par Stéphane Séjourné pour lancer et mettre sur orbite la carrière de Gabriel Attal.

La Faible Couverture Médiatique Publique Des Activités Organisées Par La Région Souss-Massa Atteint Le Parlement

agadir24.info – 11/01/2024


Le parlementaire Hassan Oumrebit, membre de l’équipe Progrès et Socialisme à la Chambre des représentants, a adressé une question écrite au ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, sur la faible couverture médiatique publique des activités organisées par la région Souss-Massa.

Dans ce contexte, le parlementaire a passé en revue, dans sa question dont une copie est disponible à Agadir 24, les rôles majeurs joués par les médias publics dans la revitalisation de la vie démocratique et la construction du projet de société moderne, auquel le ministère s’est engagé depuis des années. notamment par la création de chaînes publiques spécialisées et de programmes diversifiés. Et l’ouverture sur de multiples champs territoriaux et culturels.

Mais d’un autre côté, Oumrebit a souligné que la couverture médiatique publique des activités qui se déroulent sur l’ensemble du territoire marocain est encore très faible, la présence de certaines régions et villes dans les différents programmes d’information et de documentaires restant faible, voire quasi inexistante.

Selon le même intervenant, malgré le grand dynamisme que connaît la région Souss-Massa, au niveau de la cristallisation et de l’organisation des activités politiques, économiques, sociales et culturelles au quotidien, la présence de ces événements à la radio et à la télévision publiques Le réseau de programmes est très faible et ne répond pas au niveau des aspirations des citoyens et citoyennes, à une époque où certains partis s’approprient le contenu des divers programmes.

Omrebit a suggéré que cette situation est due au mode de fonctionnement des chaînes susmentionnées, qui dépend principalement de l’attribution d’une tâche chaque fois qu’il s’agit de la région Souss-Massa, et au manque de bureaux et de cadres techniques et médiatiques stables capables de couvrir les différentes activités qui peuvent avoir lieu sur le territoire de la région.

Dans ce contexte, le membre de l’équipe Progrès et Socialisme s’est enquis des mesures que prendra le ministère de tutelle en vue de renforcer la présence des institutions médiatiques publiques dans la région Souss-Massa, ainsi que des mesures qui seront prises pour renforcer la présence des institutions médiatiques publiques dans la région Souss-Massa sur les activités organisées dans la région Souss-Massa pour leur diffusion dans les programmes des chaînes publiques.